
L’oie a son jeu et son pas. Elle a aussi a aussi sa part cinématographique.
L’oie vit le plus souvent en troupeau et c’est naturellement par la bande qu’elle peut s’insérer dans un film.

Le troupeau d’oies a une fonction bien précise : valoriser le surgissement d’un élément en déplacement rapide, le plus souvent une voiture, mais ce peut être un carrosse ou un vélo. Les piétons sont également admis.
Quand le troupeau est franchi, les oies s’écartent dans le désordre et créent une animation bienvenue.



L’oie peut être individualisée. C’est rare mais ça arrive. Dans La Loi du Seigneur de William Wyler, elle s’appelle Samantha et mène la vie dure au petit Quaker.


Dans Les Aristochats, elles sont trois : Amélie, Amélia et leur oncle Waldo.

Dans Chat noir, chat blanc, Emir Kusturica a placé des oies partout. Le cinéaste serbe aime ce qui bouge, virevolte, vibrionne, cancane, slalome et dynamise la scène. Les oies remplissent ce rôle avec une étonnante simplicité.






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